21/12/2017

Je vois des fenêtres qui semblent grillagées le long de la voie de mon train, des rectangles de lumière jaune où se découpe du linge mis à sécher. Le carnet tient bien dans la poche de mon manteau et se remplit plus rapidement que prévu. Ce serait bien de pouvoir l’appeler « Carnet d’un hiver »… surtout qu’ensuite je n’aurai plus de manteau pour le transporter !
Parfois, je me dis que je devrais changer de stylo pour écrire plus lisiblement, mais je n'ai pas envie de briser le rythme. Mes lecteurs galéreront à me déchiffrer, moi comprise sans doute.