Parfois
j’en ai marre du cynisme, mais ça m’aide à aller mieux (?)
Ou c’est un poison qui me ronge. Ou qui me pousse à écrire ce genre de phrases
dramatiques. Comme si j’étais la victime. Faudrait que j’arrête de me plaindre,
que j’arrête d’attendre un sauveur, parce que la solution ne peut venir que de
moi-même. Et ce n’est pas en m'ajoutant en tant que bourreau que je vais
aller mieux. Je suis tentée de me censurer. [Et je l’ai fait pour ce blog,
juste ici. Je n’arrive pas à dévoiler ce passage.]
C’est à prendre avec des pincettes ; je romance, je dramatise, je déforme.